L’autonomie alimentaire est un terme général utilisé en élevage laitier qui peut être abordé de différentes manières, notamment à un niveau massique, énergétique et protéique. En tant qu’éleveur, il faut surtout viser une augmentation de l’autonomie fourragère. Mais, pour les concentrés, pourquoi ne pas opter pour une autonomie régionale en utilisant des coproduits locaux, par exemple du tourteau de colza ? Quel est l’impact d’une augmentation de l’autonomie sur ses résultats technico-économiques ?